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JohnMédiateur
http://www.courrierdelouest.fr/actualite/nyoiseau-marine-le-pen-scolarise-sa-fille-dans-le-segre-en-30-08-2014-180975La présidente du Front national a choisi l’Institution Notre-Dame-d’Orveau, pour l’une de ses filles. L’établissement catholique accueille régulièrement des enfants de personnalités.
La présence d’un enfant de personnalité dans l’effectif scolarisé dans ce domaine de 14 hectares n’a en effet rien d’exceptionnel. Hommes politiques, grands patrons ou dignitaires étrangers font confiance depuis des années au sérieux des enseignants d’Orveau. Des enfants de Philippe de Villiers ont été scolarisés ici. Ceux du ministre de l’Intérieur de la Côte d’Ivoire aussi. Des fils d’ambassadeurs ont préparé leur baccalauréat à Nyoiseau. Le journaliste et ex-otage au Liban Jean-Paul Kauffmann a pris goût à la littérature ici, grâce à son professeur Antoine Glémain, qui fut maire de Segré. Laura Smet, fille de Johnny Hallyday, fait partie des anciens élèves. Alain Madelin a lui aussi fait confiance à Notre-Dame d’Orveau pour y placer ses enfants.
Les explications du choix de cet établissement par Marine Le Pen dans Le Courrier de l'Ouest de ce samedi. A lire sur ordinateur, smartphone et tablette.
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OlympiasProphète
Et vive la défense de l'école publique 
skindiverÉrudit
Je ne la supporte pas mais je peux comprendre son choix....
Etre la fille de Marine Lepen ne doit pas être très facile à vivre dans un établissement public de secteur...
Etre la fille de Marine Lepen ne doit pas être très facile à vivre dans un établissement public de secteur...
- OlympiasProphète
Mais elle ne s'appelle pas Le Penosteoboy a écrit:Je ne la supporte pas mais je peux comprendre son choix....
Etre la fille de Marine Lepen ne doit pas être très facile à vivre dans un établissement public de secteur...
- skindiverÉrudit
Tout le monde même si elle ne porte pas le nom de sa mère sait qui elle est... ou le saura.
- OlympiasProphète
Je sais bien, mais cela ne m'étonne pas que la fille se retrouve dans ce type d'école. Le public, c'est pour les manants, voyons !!osteoboy a écrit:Tout le monde même si elle ne porte pas le nom de sa mère sait qui elle est... ou le saura.
- skindiverÉrudit
J'ai fait ma scolarité dans le public, nous avions la chance d'habiter à coté d'établissements de secteur privilégiés.
La ou j'habite désormais (bon je ne compte pas avoir d'enfants), si j'avais des enfants ils iraient dans le privé sans aucune hésitation.
La ou j'habite désormais (bon je ne compte pas avoir d'enfants), si j'avais des enfants ils iraient dans le privé sans aucune hésitation.
- OlympiasProphète
Il y a des cas où on peut comprendre. Mais les gens concernés par l'article vivent rarement dans la zone carte scolaire d'un établissement que tout le monde veut éviter ! Tu vois, la seule priorité du ministre doit celle-là : qu'il n'y ait plus d'établissement ghetto, de collège pourri, de lycée que tout le monde veut fuirosteoboy a écrit:J'ai fait ma scolarité dans le public, nous avions la chance d'habiter à coté d'établissements de secteur privilégiés.
La ou j'habite désormais (bon je ne compte pas avoir d'enfants), si j'avais des enfants ils iraient dans le privé sans aucune hésitation.
ycombeMonarque
Olympias a écrit:Il y a des cas où on peut comprendre. Mais les gens concernés par l'article vivent rarement dans la zone carte scolaire d'un établissement que tout le monde veut éviter ! Tu vois, la seule priorité du ministre doit celle-là : qu'il n'y ait plus d'établissement ghetto, de collège pourri, de lycée que tout le monde veut fuirosteoboy a écrit:J'ai fait ma scolarité dans le public, nous avions la chance d'habiter à coté d'établissements de secteur privilégiés.
La ou j'habite désormais (bon je ne compte pas avoir d'enfants), si j'avais des enfants ils iraient dans le privé sans aucune hésitation.
Sauf que pour ça il faudrait faire le bon diagnostic. L'échec de l'élève au centre et du passage quasi automatique jusqu'en troisième, des classes surchargées et de l'absence de structures capables de prendre en charge les élèves en échec, des programmes allégés et des pédagogies non explicites.
Et ça, ça n'est pas près d'arriver.
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