complément circ. et prop. subord. circonst.

C@ro a écrit:

Ornella a écrit:mais on dit bien "prop sub circ de temps", non? pourquoi ce serait une fonction?bon sang, il y a quelques années, je me posais moins de questions !!!

je veux bien ton donc Yolatengo!!!

Non! Moi en classe je dis prop sub conj CCT!

Je fais pareil que Caro!
Je veux à tout prix distinguer nature et fonction.

C'est le seul moyen de s'y retrouver, j'en veux pour preuve les hésitations d'Ornella, qui est pourtant une pro. Même nous finissons par y perdre notre latin à force de dénominations impropres.

Et puis franchement, c'est tellement plus simple :

NATURES DES SUBORDONNEES :
Une proposition qui commence par une conjonction de subordination (que - quand - comme - si et les nombreuses locutions en "que" : puisque, afin que, pour que, parce que...)
est une proposition subordonnée conjonctive.

Une proposition qui commence par un pronom relatif est une proposition subordonnée relative.

C'est LOGIQUE.


Ensuite, FONCTIONS.
Les PSC introduites par "QUE" sont en général COD ou COI, ou attribut du sujet, parfois sujet du verbe.
Les PSC introduites par une autre conjonction sont TOUJOURS complément circonstanciel.
Les PSR sont TOUJOURS toujours complément du nom, en général celui qui est placé juste avant et qu'on appelle l'antécédent.

merci merci tout le monde

et puis en classe tu peux systématiser la différence entre Nature et Fonction en le demandant séparément

Exactement comme Véronique si ce n'est que je parle de l'interrogative en 4ème introduite ... par un mot interrogatif... c'est logique
. Pour les aider à ne pas confondre les mots subordonnants de même forme mais de nature différente je finis la leçon par un exercice qui propose des séries dans lesquelles il faut distinguer les différentes natures de subordonnants donc de subordonnées.
Je regarde le livre que tu m'as offert / Je veux que tu viennes avec moi /
Je veux savoir quand tu arriveras / Quand tu arriveras nous irons voir un film. ... etc...
Ensuite au fil des textes, dans l'année, je demande une petite analyse( en fin d'heure par exemple) sur des phrases plus littéraires donc plus élaborées.

Tout pareil, Julie. C'est ça qui est bien, avec cette démarche : le principe est simple : la nature d'une proposition subordonnée est déterminée par la nature du mot subordonnant qui l'introduit. Avant, la seule exception, c'était les participiales, sans mot subordonnant. Avec les nouveaux programmes, plus de participiales, donc encore plus simple.

J'ai pas vu. Elles deviennent quoi les participiales du coup ?

Oui, elles deviennent quoi ? Je commence à m'inquiéter...

Passées par pertes et profit dans le flot incontrôlable du niveau qui monte...

Je les ferai en 3ème, ne serait-ce que pour corriger les formes fautives en expression.