Deux citations de famille....

Pseudo a écrit:Tu en veux une ? Comme ca tu saura pourquoi tu pleures !

Chez moi, quand on avait fait vraiment une grosse bêtise, il y avait une variante: "tu en veux une, ou tu en veux deux?"

Sinon, ma grand-mère, quand on lui demandait où elle allait et que ça ne nous regardait pas, elle nous le faisait comprendre ainsi:
-Mamie, où tu vas?
- Pendre le chien!

En parlant des gens insatisfaits de leur sort alors qu'ils auraient tout pour être heureux: "Ceux qui se plaignent, il faudrait encore leur en prendre" (traduit de notre francique)

Les jours où ça ne va pas trop, où l'humour (noir, certes) reste le seul moyen:
- Alors, comment ça va aujourd'hui?
- Bof... Un peu mieux que mort! (traduit aussi).

Quand on a un problème et qu'on a du mal à s'en débarrasser: "Quand tu as une épine dans le pied, tu l'enlèves".

-On ne me dit jamais rien dans cette famille ! :colere:
(Je l'ai importée au collège avec succès... :lol:)

- Le premier qui mange a mangé.
(= Faut se dépêcher avant qu'un autre passe et qu'il n'y en ait plus...)

- J'en veux pareil mais plus. :gouteur:
(Oui, on est gourmand...)

Gryphe a écrit:-On ne me dit jamais rien dans cette famille ! :colere:
(Je l'ai importée au collège avec succès... :lol:)

- Le premier qui mange a mangé.
(= Faut se dépêcher avant qu'un autre passe et qu'il n'y en ait plus...)

- J'en veux pareil mais plus. :gouteur:
(Oui, on est gourmand...)

Ah, le "on ne me dit jamais rien", on l'a aussi ; couplé à un "personne ne m'aime", qui doit être hululé.

Vaut mieux aller à l'porte d'un plaignard que d'un vantard!

Reine Margot a écrit:de mon père, au sujet des parents qui gâtent leurs enfants "ils se mirent dans leurs gamins comme des chats dans des andouilles".

J'adoooooooore !

Aucun proverbe familial à vous faire partager, en tout cas aucun qui me vienne à l'esprit.

De moi (ou pas ? ça remonte à des soirées de beuverie estudiantines) :
"Qui peut le plus peut le moins peut le rien."

"Quand on ne sait pas où on va, on risque surtout d'arriver nulle part".

De ma mère: le travail avant le plaisir.

mais aussi: le mieux est l'ennemi du bien.

Ça m'a marquée.

Souvenir d'enfance :

"Ah!!! dit-il, en espagnol et en éternuant, car il connaissait les 2 langues !!!"

Concernant le fait qu'on est "un peu" enveloppés : "quand les gros s'ront maigres, les p'tits s'ront morts"
Concernant une personne qui mange beaucoup mais qui ne prend pas un gramme : "elle est comme les chieuvre (chèvre en berrichon), elle a la graisse en d'dans"
Les deux de mon Berrichon d'homme