Amélie Oudéa-Castéra, notre ex-nouvelle ministre

Danska a écrit:

Hocam a écrit:

Halybel a écrit:J’en peux plus son intervention c’est un sketch … c’est Chat GPT qui l’a écrit je suis sur …

https://x.com/franceinfo/status/1754895041036779647?s=46

Au moins, la mixité est assurée. Celle des métaphores, certes, mais c'est un début.

J'ai surtout l'impression de voir la copie d'un élève qui n'a rien compris et qui sème un peu partout les mots qu'il a retenu du cours, en espérant que ça fasse illusion... Ben ça ne marche pas, ni pour les élèves ni pour la ministre.

Hocam a écrit:

Danska a écrit:

Hocam a écrit:

Halybel a écrit:J’en peux plus son intervention c’est un sketch … c’est Chat GPT qui l’a écrit je suis sur …

https://x.com/franceinfo/status/1754895041036779647?s=46

Au moins, la mixité est assurée. Celle des métaphores, certes, mais c'est un début.

J'ai surtout l'impression de voir la copie d'un élève qui n'a rien compris et qui sème un peu partout les mots qu'il a retenu du cours, en espérant que ça fasse illusion... Ben ça ne marche pas, ni pour les élèves ni pour la ministre.

Oui, c'est un peu là que je voulais en venir.

Danska a écrit:Je n'ai même plus envie d'ironiser avec elle - indépendamment même de la politique menée ou de son absence de pouvoir réel, on a vraiment mérité quelqu'un comme elle à la tête de l'EN ?

Aperçu par hasard a écrit:

Danska a écrit:Je n'ai même plus envie d'ironiser avec elle - indépendamment même de la politique menée ou de son absence de pouvoir réel, on a vraiment mérité quelqu'un comme elle à la tête de l'EN ?

Je crois que d'autres ont déjà évoqué cette éventualité, mais je me demande de plus en plus sérieusement si le choix de placer une personne aussi peu qualifiée à la tête de l'EN ne s'inscrit pas dans une stratégie de diversion. Ses bourdes et la vacuité de ses interventions contribuent à détourner l'attention (la nôtre, celle des observateurs et commentateurs en général) des points de débat fondamentaux et à brouiller la perception de nos revendications. Elle est un peu notre hareng rouge.

Aperçu par hasard a écrit:

Danska a écrit:Je n'ai même plus envie d'ironiser avec elle - indépendamment même de la politique menée ou de son absence de pouvoir réel, on a vraiment mérité quelqu'un comme elle à la tête de l'EN ?

Je crois que d'autres ont déjà évoqué cette éventualité, mais je me demande de plus en plus sérieusement si le choix de placer une personne aussi peu qualifiée à la tête de l'EN ne s'inscrit pas dans une stratégie de diversion. Ses bourdes et la vacuité de ses interventions contribuent à détourner l'attention (la nôtre, celle des observateurs et commentateurs en général) des points de débat fondamentaux et à brouiller la perception de nos revendications. Elle est un peu notre hareng rouge.

Baldred a écrit:

epekeina.tes.ousias a écrit:https://www.liberation.fr/politique/amelie-oudea-castera-lachee-par-la-porte-parole-du-gouvernement-20240201_LUKAQHFO6NCV5GURUPWQG7YRQE/

la porte-parole du gouvernement vient publiquement planter un autre clou dans son cercueil, sur Sud Radio ce matin. Interrogée sur la possibilité, pour une ministre de l’Education nationale, de scolariser ses enfants dans des classes non-mixtes alors qu’elle est chargée, entre autres, de «favoriser la mixité et l’égalité entre les hommes et les femmes», Prisca Thevenot répond d’abord qu’il s’agit du «choix de la mère de famille, pas de la ministre» et qu’elle n’est là ni pour «excuser» ni pour «juger ces choix». Mais prendrait-elle la même décision ? «Je ne le fais pas, mes enfants sont scolarisés dans le public, dans des classes mixtes, j’ai fait toute ma scolarité moi-même dans des classes mixtes», lâche Thevenot en même temps qu’elle lâche sa collègue. L’Obs rapporte un autre coup de poignard, venu cette fois d’Edouard Philippe. Devant les anciens élèves du lycée public parisien Janson-de-Sailly, où il a été en prépa après une scolarité 100 % publique, l’ex-Premier ministre a vanté : «L’école a joué un rôle très important sur mon parcours. Et je tiens à souligner l’importance de l’école publique dans ma formation.» Et d’ajouter «en souriant» : «Toute référence à l’actualité du moment est bien évidemment fortuite.»

Tant qu'ils dont ça dans l'entre-soi et en privé, ça va encore, mais en public…

Bon, quand on est dans le secteur qui dépend de Janson, on ne se demande pas longtemps si on a besoin du privé. Vaine gloriole du faux choix de la part d'Edouard Philippe. Les voitures avec chauffeur qui stationnent devant le bahut, je l'ai vu à Janson, pas à Stan.

Halybel a écrit:

Aperçu par hasard a écrit:

Danska a écrit:Je n'ai même plus envie d'ironiser avec elle - indépendamment même de la politique menée ou de son absence de pouvoir réel, on a vraiment mérité quelqu'un comme elle à la tête de l'EN ?

Je crois que d'autres ont déjà évoqué cette éventualité, mais je me demande de plus en plus sérieusement si le choix de placer une personne aussi peu qualifiée à la tête de l'EN ne s'inscrit pas dans une stratégie de diversion. Ses bourdes et la vacuité de ses interventions contribuent à détourner l'attention (la nôtre, celle des observateurs et commentateurs en général) des points de débat fondamentaux et à brouiller la perception de nos revendications. Elle est un peu notre hareng rouge.

Quelles revendications la hausse des salaires ? Moins d’élèves par classe ? Plus de profs, d’aesh ?


Allez vous faire émuler !

Baldred a écrit:

Je penche plutôt pour le choix d'une exécutante efficace, ce qu'elle avait l'air d'être dans son précédent poste. L'erreur aura été d'oublier que le ministre de l'EN est un poste sur-exposé.

Estelle60 a écrit:Apparemment,  d'après certains médias, AOC serait partie pour rester...A suivre.

Jenny a écrit:

Estelle60 a écrit:Apparemment,  d'après certains médias, AOC serait partie pour rester...A suivre.

Source ?

Clecle78 a écrit:Jupiter ne peut pas faire d'erreur, logiquement elle devrait rester. C'est terrible ce que le pouvoir et l'orgueil font aux (sur)hommes ...

ipomee a écrit:Partir, ou rester ? C'est cornélien.

«Il y avait deux domaines qui me paraissaient mériter un engagement plein: le ministère de l'Éducation, qui connaît aujourd'hui une crise de confiance qui vient de loin et que je croyais que l'on pouvait corriger. Mais de nombreuses discussions m'ont fait conclure à une différence d'approche sur la méthode à suivre qui me parait rédhibitoire», a déclaré M. Bayrou. «Le deuxième sujet, c'est le gouffre qui s'est creusé entre la province et Paris, toutes les crises de l'aménagement du territoire et la distance désormais de plus en plus grande entre les citoyens et l'action publique. Nous n'avons pas pu trouver un accord sur ces deux points», a poursuivi le président du MoDem, qui dit avoir par ailleurs décliné le ministère des Armées.

Le maire de Pau, 72 ans, avait été nommé en 2017 au ministère de la justice dans le premier gouvernement d’Emmanuel Macron avant de démissionner un mois plus tard en raison de l’ouverture d’une enquête sur l’affaire des assistants des parlementaires européens du MoDem. Il a été relaxé près de sept ans après, lundi 5 février, par le tribunal correctionnel de Paris. « Le mécanisme de la justice est tel, il est si lourd, vous n’avez pas les moyens de vous défendre », avait-il regretté mardi sur BFM-TV rappelant notamment que « ça coûte extrêmement cher ».

Un peu plus tôt, son entretien avec Gabriel Attal s'est mal passé, selon plusieurs sources. « Ce n'est pas un désaccord technique, mais un désaccord politique », appuie un proche de François Bayrou. Sur l'Éducation, « il a considéré qu'il faut réformer avec les profs, et pas contre les profs ». C'est décidé : il ne rejoindra pas le gouvernement.